Australie et Nouvelle-Zélande

une petite balade en voiture 

Pour se reposer de ses études (voir les précédentes actualités en cliquant ici), Adrien DELMAS s’est offert une petite promenade en voiture (a road trip) en Australie et en Nouvelle-Zélande – attention : on roule à gauche !

 Il a eu le bonheur de voir :
– des colonies de phoques et des troupes de dauphins:
– des lacs aux eaux turquoises;
– des grottes avec des vers luisants, et de ces mêmes vers au plafond des chambres d’hôtes;
– des piscines naturelles d’eau chaude;
– un lac nommé « champagne pool » car plein de bulles dues à l’activité volcanique.

En voici quelques souvenirs :

 

 

 

Et, pendant quelques semaines, il s’est fait embaucher comme conducteur d’une très discrète limousine (on dit : « limo » en bon anglais) qui faisait la navette entre la ville de Taupo, dans le nord de la Nouvelle-Zélande, et son aéroport, terminal de vols réguliers et centre de parachutisme (« skydiving »).

Il en a profité pour faire quelques sauts – attention : les altimètres sont en pieds !
L’inscription sur le flan de la « limo » propose le tandem : on est saglé à un moniteur. C’est la pratique habituelle pour les touristes.
Mais le centre accepte bien évidemment les autres pratiques, dont le « solo » cher à Adrien.
Ils proposent jusqu’à 18.500 ft (feet – en Français : pieds), soit 5.600 m – alors qu’en France on se limite généralement à 4.000 m. Le saut en est rallongé de quelques secondes. En sautant en France à 4.000 m, je m’étais habitué au temps de chute libre à cette altitude et du coup j’avais une certaine notion du moment où il fallait ouvrir le parachute. En sautant plus haut on se surprend à regarder l’altimètre en pensant arriver bientôt au moment de l’ouverture alors qu’il reste encore du temps. Remarque : en sautant de plus bas il faut être plus vigilant et regarder l’altimètre plus régulièrement.
Au-dessus de 15.000 ft, tous les passagers (moniteurs, parachutistes solo et clients de saut en tandem) doivent porter un masque à oxygène.
Les masques sont solidaires de l’avion. Lorsqu’on approche du point de largage, le pilote envoie un signal pour dire d’ouvrir la porte de l’avion et de se tenir prêt : c’est à ce moment qu’on retire le masque.