les plaisanteries
à Saint Tropez – à la villa Jasmine
Un inconvénient (pour certains ou certaines) : la proximité de la mer favorise les brimades.
et sur la mer
cette photo a une histoire : deux enfants WIES avaient sournoisement invité, sur la bouée centrale, la charmante jeune fille au pair qui officiait à la villa voisine – à un moment, ils se sont apprétés à sauter sur la pauvre fille à l’instant précis où, sur le bateau, un troisième enfant WIES a dit au conducteur : « c’est amusant de stopper et de repartir », ce qu’a fait le conducteur – voici le résultat : seule la jeune fille est restée sur sa bouée – on distingue une belle jambe horizontale
et pour aider une bouiste à sortir de sa bouée, on peut l’aider en soulevant l’arrière.
un beau mariage – extraits
le 17 octobre 2020, à la Mairie du XVIIeme arrondissement de Paris, Mouna TARZI et Thomas WIES se sont dit oui – devant une assistance très réduite du fait de ce satané virus.
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Voici la sortie :
pauvres abbés
communiquée par Caroline CHAPPEY-RIBADEAU DUMAS
Un grand malheur est arrivé à l’abbaye et j’ai la pénible mission de vous en faire part.
Mardi soir, pendant que l’abbé Nédictine donnait les dernières grâces, l’abbé Quille perdit l’équilibre dans l’escalier et tomba inanimé dans les bras du Père Iscope.
Les révérents pères, en perdant l’abbé Quille, perdaient leur seul soutien. Un seul restait joyeux : le père Fide.
Quant à l’abbé Tise, il n’y comprenait rien.
Il aurait bien voulu que le saint Plet l’aide à comprendre ce qui s’était passé mais rien n’y fit.
Après l’accident de l’abbé Quille, on alla chercher le Père Manganate et le Père Itoine, les deux médecins de l’abbaye.
Ils pensaient ranimer le malheureux mais leurs efforts furent vains et celui-ci décéda peu après.
Le lendemain fut donc célébré son enterrement. Chacun fut appelé à l’abbaye par les célèbres cloches du Père Sonnage.
La messe fut dite sur une musique de l’abbé Thoven.
Le père Ocquet fut chargé du sermon et comme il n’y avait pas de chaire, il monta sur les épaules du père Choir.
A la fin de l’homélie, le Père Cepteur fit la quête et remit les dons ainsi recueillis à l’abbé N’Pé.
Après la messe, une grande discussion s’engagea pour le transport de la bière :
l’abbé Canne et l’abbé Trave voulaient passer par les champs.
Le Père Clus s’y opposa. L’abbé Casse en fut enchanté.
Le Père San avec sa tête de turc ne voulait rien entendre.
Le Père Vers et le Père Nicieux semaient le doute dans les esprits.
Finalement on décida que, comme à l’accoutumée, l’abbé Taillière serait chargé du transport du corps du défunt.
Devant la tombe creusée par le Père Forateur et en l’absence du Père Missionnaire, l’abbé Nédiction donna l’absolution.
Le Père Venche et l’abbé Gonia avaient joliment fleuri la tombe. Celle-ci fut recouverte d’une belle pierre tombale préparée par l’abbé Tonneuse.
Sur le chemin du retour, le spectacle fut déchirant.
Le Père Pendiculaire était plié en deux de douleur et de chagrin.
L’abbé Vitré était lui aussi plein de larmes. La Mère Cedes, invitée pour l’occasion, fermait la marche en compagnie du frère du Père Igord.
A l’arrivée, le Père Sil et l’abbé Chamelle préparèrent le repas tout en consultant les livres culinaires du saint Doux.
Le Père Nod et le Père Collateur servirent à boire et chacun put se remettre de ses émotions.
signé : l’abbé BICI