les sports floconneux
Nous visons ici les sports de neige, essentiellement le ski alpin.
La matière première à la base de cet article est due aux ébats de la famille Delmas , principalement à Tignes.
Vous avez certainement pratiqué, vous et/ou votre famille très proche, des vacances à la neige – vous en avez certainement des souvenirs, bons nous l’espérons, très bons – narrez-les nous – n’attendez pas d’avoir le temps : dans la vie moderne, souvent effrénée, on n’a jamais le temps !
Nous vous soumettrons ce que nous pensons en faire – et respecterons votre anonymat si vous le souhaitez.
Allez donc à votre clavier sans attendre – et merci à l’avance.
un peu d’histoire :
Philippe DELMAS s’est vu proposer par ses enfants, lorsqu’il avait déjà une trentaine avancée, de lui apprendre à skier (ce qu’eux pratiquaient déjà grâce à des écoles de neige ou similaires).
Ils allèrent à la Plagne – débuts de Philippe assez pénibles – il se souvient avoir suscité l’admiration des passagers d’un télésiège pour avoir dévalé toute la piste sous-jacente moitié sur le ventre, moitié sur le dos.
Quand il s’est trouvé capable d’acheter un appartement, ses enfants lui ont dit préremptoirement d’aller à Tignes – avec son épouse Michèle, ils ont acquis un appartement à l’entrée de Val Claret, l’un des quartiers de Tignes.
Cet appartement, déjà meublé par une charmante demoiselle, professeur en retraite, comportait au mur un adorable petit tableau « l’amour triomphe de tout ».
Pendant les vacances scolaires, Philippe se faisait une joie d’y emmener ses enfants, petits-enfants, neuveux et nièces – et de les conduire à l’école de ski – jusqu’au jour où il s’est entendu dire : « nous sommes complets : il fallait réserver » ce qui l’a obligé sur le champ à devenir chef de meute : « suivez-moi, mais n’adoptez surtout pas mon style ».
La meute y a glané de bons souvenirs – par exemple, l’emprunt d’une belle piste bleue, en plein soleil – au troisième poteau, on a constaté que la piste n’était pas bleue, mais noire : c’était la piste olympique de Bellevarde ! – nous l’avons continuée, faute d’autre solution possible, en prenant tout notre temps – dès le retour à l’appartement, l’un des enfants s’est précipité pour téléphoner à sa mère « nous avons fait la piste olympique ! » – il n’a pas précisé le temps, fort différent de ceux des compétiteurs.
note : cette belle piste comporte généralement une plaque de verglas de 60 m – Philippe se souvient avoir pratiqué presque habituellement une chute dès le début, et avoir parfois fauché, au passage, quelques petits enfants – ou atterri dans un monsieur agé (jamais dans une jeune fille !).
Voici, à titre d’exemple, un échantillon d’usagers.
Petit conseil pour photographier quelqu’un contre sa volonté :
Philippe se reconnait un vrai talent pour les pentes très abruptes, les « murs » : couché sur le coté, en glissade controlée sur la cuis se droite : pas joli, mais efficace.
l’appartement
Deux pièces et une large entrée = 8 couchages, plus un fauteuil-coussin dépliable.
Un téléphone (fixe, à l’époque) était accroché au mur dans une position volontairement inconfortable, pour éviter les longues conversations (l’époque ignorait les forfaits illimités !) – ce qui n’a pas dissuadé certaines et certains (on pourrait même invoquer une certaine émulation…).
Après l’effort – ou : comment partager un canapé – ou encore : duo sur canapé :
Un mot sur le rangement : Philippe s’est vu pratiquer du chantage – au risque de profondément traumatiser ses petits enfants, ils les a menacés d’envoyer une photo à leur mère si la pièce n’était pas rangée le lendemain – très bon résultat – mais une fois seulement : la répétition, l’année suivante, a nettement manqué d’efficacité ! admirez :
Une heure avant la fin d’un séjour, la patronne du moment a demandé qu’on « dégage » dix minutes pour lui permettre de passer l’aspirateur et de ranger – Philippe a donc emmené ses petits enfants jouer un peu … dans la neige – quand il est revenu, il a pris un beau savon (rétrospectivement mérité) pour avoir ramené des enfants aux tricots bien encollés.
Les clés : elles comportaient toutes un grand lacet, pour être portées autour du cou. Philippe avait prété son appartement à une nièce, qui lui téléphone : « J’ai fait une grande chute dans la poudreuse, et j’ai perdu la clé« . Philippe réfrène son agacement, ne pose pas la question du port effectif, et répond « bon, on en refera faire une autre » – la skieuse reprend : « j’ai perdu la clé » – philippe re-répond « on en refera faire » – la skieuse reprend une troisième fois, en ajoutant « et je suis dehors » ! Philippe percute (comme on dit maintenant) enfin, et dis d’aller voir le Gardien, qui possède un double – la nièce obtient cette clé grâce à son seul sourire.
l’information des parents restés chez eux
On les informe qu’on a invité d’autres personnes
Mais toutes choses ne sont pas bonnes à dire !
les différents skis
Les premiers types de skis auquels on pense sont le skis « normaux ».
Encore que ce terme soit source de polémique car la hauteur (et les autres caractéristiques) font l’objet de controverses passionnées : faut-il des grands skis, pour mieux dévaler des pentes bossues ? des skis de votre hauteur plus 20 cm ? des skis plus courts, pour mieux permettre aux débutants de virer ? Laissons à chacun ses skis – d’autant qu’un ski possède d’autres caractéristiques : largeur fixe, largeur plus grande devant, formes spatulées, souplesse, et même : couleur et inscriptions.
On peut aussi adopter des skis courts, souvent appelés « patinettes », d’une longueur parfois réduite à 60 cm., et sans le secours de batons. Les puristes vous diront que ce n’est plus du ski ! sans doute, mais quelle ivresse de glisser en dérapage (parfois sur toute la longueur d’une piste verglassée), de faire des tours complets, et, surtout, d’épater la galerie !
le monoski
Contrairement au ski nautique, où les deux chausses sont l’une derière l’autre, le monoski de neige comporte deux chausses cote à cote : il faut avoir de beaux muscles du bassin pour se diriger !
Emilie NAVARIN a fait l’admiration de ses cousins en pratiquant toute une jourée pour ses débuts !
La pratique du monoski a été détronée par celle du snowboard.
le snowboard
C’est une planche unique, moins longue que des skis normaux, avec deux chausses l’une derière l’autre, orinéntées.
Le snowboard se pratique sans batons.
Il permet d’aller vite, très vite, trop vite au goût de certains skieurs plus normaux (comme ils s’estiment eux-mêmes).
où, quand, comment ?
Période : généralement l’hiver et le printemps – certaines stations affichent une ouverture (au moins de certaines pistes) 365 jours par an.
Horaires : très généralement : dans la journée – certianes stations organisent parfois des descentes aux flambeaux, sur des pistes non méchantes – certaines autres offrent la possibilité de pratiquer la nuit (ou plus souvent le soir) sur des pistes éclairées.
Lieux : de nombreux pays, enneigés en saison ou en permanence, disposent de pistes équipées.
Remontées : dans les temps historiques (ou même encore maintenant pour les mordus), on montait à pied, skis sur l’épaule – ou en habillant ses skis de chaussettes qui ne glissent que dans un sens, appelées « peaux de phoque » (c’en était au début !) – très généralement, maintenant, on utilise des « remontées mécaniques » fixes : téléskis, télésièges, télécabines – on peut aussi se faire déposer en hélicoptère.
le ski de fond
Nous n’en avons pas l’expérience, et serions très heureux que des Parents nourrissent cette rubrique.
le traineau à chiens
Nous en avons fait.
Remarque : les enfants ont été un peu traumatisés de voir le chien de tête virer à droite immédiatement quand il en reçoit l’ordre, sans demander : « pourquoi ? » – « y a pas le feu » – « attends, j’y pense » – « on n’est pas pressé ! »
le parapente – par Claude SURZUR
voici du parapente pratiqué par Claude SURZUR (avec un poignet cassé ! faut l’faire !)
suggestion : avant de lancer, cliquez en bas à droite sur le carré « pleine page »
la luge (normale…)
Il en existe plusieurs formes, de la palette toute simple à la luge avec frein – utilisées en position assise, ou sur le ventre.
la luge (de compétition…) – Grégoire WIES
97,5 km/h quand même ! – voici le départ :
et voici l’arrivée :