actualités de la branche THUILLIER avril 2017

      lancement de votre nouveau site

 

C’est avec la plus grande joie que nous vous soumettons les premières actualités de notre renaissance

Avec un contenu toujours articulé de la même manière : on visite le passé en faisant la lumière sur l’un ou l’autre de nos ancêtres et on parle des actualités concernant les uns et les autres.

 Tous les anciens numéros ont été scannés et sont mis en ligne : voyez le volet « archives ».

 Bonne lecture ! 

 et d’abord, pour nous remémorer nos racines, voici quelques photos

sur l’escalier, de gauche à droite : Léon, Blanche (Grany) et Berthe  –  en bas : Lucie et Alfred                                                                                                                                                              Vignacourt – 17 août 1890

de gauche à droite : Alfred avec Colette Lassalle dans ses bras , Hélène Landry, Paul Landry, Amy Pichon, Jean Lassalle, Simone Lassalle,  Létizia Landry (avec la cravate), Blanche Thuillier (Grany – masquée) avec Madeleine Lassalle dans ses bras, Germaine Lassalle, Ella Thuillier                   Vignacourt 1912

derrière, de gauche à droite : Claude Chappey Philippe Chappey, Dominique (dite Doudou) Delmas, Philippe Delmas, Jean-Pierre Lassalle, Jacqueline Sauvageot, Catherine Lamy.

au premier rang : Marc Chappey, Didier Lamy, Granny (Blanche Thuillier), Lilla Sauvageot, Maxime Delmas, Bernard (dit Bamy) Chappey. et Jacques Sauvageot

photo prise 9 boulevard Flandrin à Paris, fief de la famille Lassalle, à Noël 1934

ne figurent pas, bien entendu, tous les enfants nés postérieurement – mais qui n’en sont pas moins chers à notre cœur 

Vous trouverez d’autres photos dans le volet « photothèque » – certaine émouvantes – d’autres amusantes : voyez Alfred avec son chapeau – ou Lucien Lassalle – si vous arrivez à dater certaines photos, vous en serez éternellement remercié

DISPARITIONS

Depuis la parution du dernier numéro, il y a 10 ans, en grande partie consacré à Nane Dujour, (branche Marcel Chappey), beaucoup d’évènements tristes ou heureux sont arrivés.

Nous ont quitté mais restent toujours présents en nos mémoires,

  • Claude Chappey fils de Germaine Lassalle et de Joseph Chappey ,

le 9 mai 2012

Claude lors de la remise de la Légion d’Honneur le 4 juillet 2010.

De gauche à droite : Eric Ribadeau Dumas, François, Clémence, Christian Chappey, Augustin, Philippe Chappey,  Caroline Ribadeau Dumas et Claude.

Nous publions les mots prononcés par son frère Philippe lors de la messe d’enterrement.

« Au moment où nous allons nous séparer de Claude, je voudrais dire quelques mots d’adieu à mon frère.

Cher Claude,

Cela fait 86 années que nous ne nous sommes pas quittés malgré quelques périodes d’absence pour des causes majeures.

Tu as quitté Vienne en Autriche pour poursuivre tes       études à Paris deux ans avant que je ne te rejoigne. Puis ce furent les années de guerre ou tu fus éloigné de la famille durant quatre ans pendant lesquels nous ne cessions de penser à toi.

Ce long voyage s’est achevé pour toi et nul doute que je te rejoindrai un jour. Ce qui fait qu’à la réflexion notre séparation n’aura pas été très longue en comparaison de ce que nous aurons vécu côte à côte.

D’autres parleraient mieux que moi de ta vie d’adulte, de ta chère femme Monique, de tes chaleureux cinq enfants et de leurs conjoints si gentils, de ta guerre glorieuse, de ta riche carrière professionnelle, de tes centres d’intérêt. Je ne m’étends pas car je voudrais être plus personnel.

Nous avons eu tous les deux une jeunesse merveilleuse dans une famille aimante, bonne et intelligents que ce soit chez nos parents ou chez Grand Maman et Grand Papa, qui ne nous aura laissé que des souvenirs agréables et heureux. Que ce soit pendant les périodes scolaires ou pendant les vacances, nous formions avec notre cousin germain Jean-Pierre Lassalle une équipe qui ne s’est jamais ennuyée. Je me rappelle nos randonnées à vélo avec les cartes d‘état-major entoilées par nous mêmes, nos expéditions aux bois du Moulin et de la Chaussée et nos camps de vacances improvisés.

Puis arrivés à l’âge adulte , nos souvenirs communs se sont enrichis de la présence de nos deux jeunes frères, Marc et Bamy, disparus trop tôt, et de leurs épouses. Que de réunions familiales, de vacances partagées, de soirées à l’Opéra, de dîners fraternels et de discussions qui nous laissent de bons souvenirs.

Notre peine à tous de ta disparition est grande. Mais elle est adoucie par le fait que nous savons que tu as été heureux. Heureux d’avoir réussi ta vie en la conduisant dans le droit fil des exemples qui t’ont été donnés. Une vie de droiture et de générosité.

Repose donc en paix maintenant, mon cher frère. »

La prière du parachutiste

Je m’adresse à vous, mon Dieu
Car vous donnez
Ce qu’on ne peut obtenir que de soi.
Donnez-moi, mon Dieu, ce qui vous reste,
Donnez-moi ce qu’on ne vous demande jamais.
Je ne vous demande pas le repos
Ni la tranquillité,
Ni celle de l’ âme, ni celle du corps.
Je ne vous demande pas la richesse,
Ni le succès, ni même la santé.
Tout ça, mon Dieu, on vous le demande tellement,
Que vous ne devez plus en avoir !
Donnez-moi, mon Dieu, ce qui vous reste,
Donnez-moi, ce que l’on vous refuse.
Je veux l’insécurité et l’inquiétude
Je veux la tourmente et la bagarre,
Et que vous me les donniez, mon Dieu,
Définitivement.
Que je sois sûr de les avoir toujours
Car je n’aurai pas toujours le courage
De vous les demander.
Donnez-moi, mon Dieu, ce qui vous reste,
Donnez-moi ce dont les autres ne veulent pas,
Mais donnez-moi aussi le courage,
Et la force et la foi.
Car vous êtes seul à donner
Ce qu’on ne peut obtenir que de soi

(Aspirant André Zirnheld, des Forces Françaises Libres, Compagnon de la Libération à titre posthume).

 

Un témoignage également de sa fille Hélène, rédigé à partir des témoignages d’amis des enfants lors de son décès.

« Dur dur d’avoir vu décliner un père qui, tradition exige, n’a jamais été un intime. Il est parti avec ses secrets, lui, le bavard. Nostalgique d’un autre temps, on ne sait comment il s’est fourvoyé, lesté de ses « dossiers », dans un vingt et unième siècle incompréhensible. Prenant modèle sur Lucien son grand-père, il a toujours accueilli en pater familias avec joie et bienveillance au 5 boulevard Inkermann. C’est sans hauteur qu’il considérait nos amis qu’il recevait  en châtelain des Beaux Jours qu’il ouvrait généreusement. Nous sirotions le Whisky vespéral en suçotant des Monaco et écoutions d’une oreille huilée par l’habitude les récits de résistance ou les versets du Who is who.  C’est maintenant le souvenir d’un père cultivé et sociable, bavard et secret en même temps, exigent  et honnête, d’un homme pétri du sens du devoir. »

 

  • Jacques Spalter, mari de Catherine Lamy (fille de Colette Lassalle et de Maurice Lamy), est décédé le 1er avril 2014

J’ai rencontré Jacques SPALTER en 1956 à la Commission Fulbright. Cet organisme distribuait des bourses de voyage aux étudiants étrangers.

Après notre mariage en 1957, nous nous sommes rendus en Californie et plus précisément à Stanford University où Jacques avait son contrat d’assistantship et où il a obtenu un PhD en « electrical engineering ».

Nous sommes restés cinq ans dans le petite ville de Palo Alto, où notre fille Dominique est née. Puis ce fut le retour à Paris où nous sommes restés six ans et avons donné naissance à notre fils Frédéric.

Une offre d’emploi au Cern ayant paru dans le Monde, Jacques y postula immédiatement et reçut une réponse favorable.

C’est ainsi que nous avons décidé de nous installer à Genève.

Jacques a travaillé au Cern de 1968 à 1994; puis ce fut une retraite paisible, faite de marches à pied, jusqu’à son décès le 1er avril 2014.

Catherine

 

  • Françoise Auffray, mère de Charlotte, femme de Patrick Chappey

Il y a 10 ans, le 3 février 2007, Maman nous disait adieu et poussait son dernier soupir.

Sans vouloir prolonger outre-mesure une vie dont elle avait épuisé tous les bonheurs.

Elle était merveilleuse, je sais qu’on dit toujours ça des disparus, mais là, c’est vraiment  vrai.

Elle avait gardé du Maroc, son pays natal, une chaleur et une fantaisie qui n’a pas cours sous nos tropiques. Et de Bordeaux, une pointe de snobisme qui faisait rire ses cinq enfants  ( ah! Les poilades lorsqu’elle nous parlait de « Leukéleuc » .. euh.. Lucky Luke?)

Elle n’était pas une sainte,  ne prétendait pas aimer la terre entière, mais se contentait, en toute modestie, d’aimer les siens.

Elle n’avait pas un ego surdimensionné,  mais elle avait pourtant le plus ambitieux des desseins: réussir une vraie famille, heureuse et unie, malgré les difficultés d’une famille recomposée bien compliquée.

Elle aimait la beauté des visages d’enfants qu’elle peignait, l’innocence des animaux, la beauté de la nature, le charme de Paris qu’elle a contribué à sauvegarder aux côtés de Michel Fleury.

Elle aimait la beauté des longues phrases de Proust, la finesse de ses analyses, elle aimait la grandeur des passions dans les pièces de Racine, qu’elle avait jouées avec une ferveur adolescente, chez les

Sœurs à l’Assomption. Elle aimait aussi la beauté des âmes et nous répétait à l’envi: « noblesse oblige » comme si en nous coulait un sang rare qui nous obligeait à une conduite irréprochable.

Elle cuisinait divinement et là encore, ce don d’elle-même, la rendait heureuse. Une leçon qu’elle avait apprise dans « le Festin de Babette ».

En fait, elle nous séduisait tous par son élégance, physique et morale et je ne connais personne, du plus humble au plus grand, qui n’ait aimé sa  rayonnante humanité.

Et pour moi particulièrement, Maman avait une qualité précieuse: elle adorait Patrick (sans doute était-elle heureuse de me savoir enfin casée et en aussi bonne compagnie), et avait aussi pris en affection Philippe et Caroline, lors d’un séjour à la montagne en famille auquel je pense avec nostalgie.

Si elle avait vécu davantage, elle aurait certainement été une lectrice fidèle du Trait d’Union..

Elle nous a apporté un supplément de bonheur, et on en a bien profité. J’en ai même des réserves à transmettre à mes enfants.

Son éternité est donc assurée pour quelques générations dans nos cœurs. C’était d’ailleurs, je crois, la seule éternité qui lui importait.

Une phrase que j’ai lue quelque part reflète si précisément ce que je ressens, que, pardon, je ne résiste pas à l’envie de la plagier pour conclure ce petit éloge funèbre: Seul le bonheur de l’avoir connue me console du malheur de l’avoir perdue.

Charlotte

 

  • Louis Daudet , père de Sophie épouse Christian Chappey

Nous y associons le décès de son fils Antoine, (29 juin 1964-21 avril 2015) frère de Sophie 21 avril 2015.

  • Marcello Margini, décédé le 5 octobre dernier, frère d’Elisa Chappey

 

DES NOUVELLES DE ………….

Irène Chaté (fille de Delphine Weulersse),

Des news, un peu succinct mais l’essentiel y est. En GROS tout va bien pour nous 🙂

Nous habitons Paris 5è où nous aimons nous promener le long des quais de Seine,

Arsène 9 ans est passionné de dessin (voir photo jointe) et de saxophone jazz qu’il apprend depuis un an. Antoine 5 ans adore chanter, danser, raconter des blagues et faire du karaté. Je suis responsable budgétaire au sein de la Direction des affaires culturelles de la Mairie de Paris, mais surtout je passe beaucoup de temps avec mes enfants 🙂
Hugues, est chercheur en physique au sein du Commissariat à l’énergie atomique, il voyage beaucoup. Ses contacts avec la Chine nous ont permis de faire un magnifique voyage de 2 semaines à Pékin / Suzhou / Shanghai en octobre dernier (voir photo jointe à Shanghai).

Bises !       Irène

« ]

Chez les Claude

Famille Jérôme 

Photo de famille des Jérôme fin décembre 2016 pour leurs voeux : de gauche à droite

Arnaud Gaillardin et sa femme Sandrine, Bruno Premartin et sa femme Cécile, Marie-Pascal, encadrée par Adam (fils de Guillaume) et Oscar (fils de Sandrine); Aurélie, et son mari Guillaume qui porte le dernier né Max,  devant eux Adrien (fils de Sandrine) et Jérôme.

Cécile a épousé Bruno PREMARTIN

Sandrine et son mari Arnaud GAILLARDIN ont deux fils Adrien 6 ans et Oscar 4 ans. Leur domicile est passé de Saint Cloud à Suresnes à l’arrivée du second fils.

Sandrine a changé de job de directrice de clientèle en passant de Marie Claire à Elle-Lagardère.

Idem pour Guillaume et Aurélie qui ont vendu leur petite maison de Vaucresson pour en acheter une plus grande, toujours à Vaucresson à l’arrivée le 18 novembre 2016 de Max. Leur premier fils Adam a 3 ans.

Cécile et Bruno viennent de quitter San Francisco (et Colombe Chappey) où ils étaient depuis 2 ou 3 ans pour repartir à Singapour où ils ont déjà passé 5 ou 6 ans. Bruno dirige une équipe d’environ 35 personnes qui sont maintenant majoritairement basées à Singapour.

Famille Frédéric 

Louise, âgée de 26 ans,  a prêté tout récemment serment comme avocate au Barreau de Paris, après des doubles études d’éco-gestion et de droit (master) à l’université de Dauphine et un diplôme de droit fiscal à l’université de Georgetown de Washington, obtenu en 2015. Elle s’est ainsi spécialisée en droit fiscal et a été recrutée comme collaboratrice dans ce domaine, en novembre dernier dans un cabinet anglo-saxon. A la grande tristesse de ses parents, elle vient de s’installer en colocation dans le quartier de la Fourche, dans le XVIIIe arrondissement. Ses passions pour le foot et le hand-ball, longtemps pratiqués, sont toujours aussi vives.

Après avoir initié des études de commerce et de gestion à Lyon et à l’université de Paris-X et avoir passé un an en Australie, Gabriel, âgé de 25 ans, a travaillé pendant près de deux années dans une startup  spécialisée dans les services à la personne. Il est momentanément en recherche d’emploi et habite malheureusement pour lui, encore chez ses chers parents. Par-delà sa pratique assidue du foot pour le foot, son étonnante passion pour le poker fait de lui, l’un des plus talentueux jeunes joueurs parisiens dans ce domaine.

Maxime, âgé de 20 ans, est actuellement en seconde année d’éco-gestion, lui aussi, à l’université de Dauphine où il a occupé des fonctions actives au sein de l’association Chanel-9, chargée de productions vidéos internes à la faculté. Il réside lui-aussi, le pauvre, au domicile de ses parents qui s’en félicitent tous les jours. Sa passion personnelle pour la pratique de la danse contemporaine est toujours présente.

 

Chez les Philippe

Famille Caroline

Les années passent, les enfants grandissent et les premiers changements dans leur vie scolaire ou estudiantine arrivent.  Rien n’est un scoop !

C’est ainsi que Clémence qui a commencé l’année dernière une prépa scientifique PCSI à Janson et la poursuit cette année. Au printemps ce seront les concours. Cela va faire 2 ans qu’elle est installée chez son grand-père. C’est la formule « rêvée » pour nous parents ! Je crois que pour le grand-père et sa petite-fille également, surtout que Papa s’intéresse de près à sa pensionnaire et le soir, si Clémence ne rentre pas trop tard, ils discutent tous les deux. Il y a un vrai équilibre intergénérationnel.  Clémence nous fera un topo sur le sujet !

Augustin, en terminale S, va savoir dans quelques mois où il fera l’an prochain sa prépa, également scientifique. Hoche, Pasteur et Janson sont sur la liste, il prendra peut-être la succession de sa sœur chez Papa. A suivre !

Quant à François, il est encore dans le système scolaire, et aura peut-être l’an prochain, l’immense chance de se retrouver seul entre ses parents, que de joyeux moments en perspective !!!

  

Famille Christian

 Félicitations à Alexis qui a passé, avec les félicitations du jury, son diplôme d’architecte sur le thème des « cartoneros » à Buenos Aires.

Philippine est partie à Sâo Paulo (Brésil), en mission professionnelle, pour une durée de 2 ans.

Félicitations à Baptiste Chappey qui a réussi le concours de 1ère année de médecine, suivant la voie de ses parents.

 Sophie a eu la tristesse de perdre son père et son frère.

 

 Famille Patrick

Patrick,  à sa gauche Fanny, à sa droite Juliette, Charlotte en bas à gauche, et à droite Pauline.

Pour résumer où en sont les filles : Pauline, 19 ans, à l’école bleue, design et architecture d’intérieur, toujours chez papa maman

Fanny, 17 ans, en 1ère à Fénelon, aime le chant et le dessin.

Juliette, 17 ans, en 1ère à Edgar Poe, aime le théâtre et plein d’autres trucs.

 

Chez les Marc

 Au moment de lancer ce site, nous demeurons dans l’attente de nouvelles récentes à vous transmettre, à publier. Ce sera l’occasion de prochaines actualités.

 

Chez les Bamy

 En janvier 2010 Laurent crée sa société Go For Hit (www.goforhit.fr) et a eu la douleur de perdre, le 4 novembre 2013 sa femme Nathalie (1967-2013). Depuis 2015 Laurent partage sa vie avec son inséparable Jack russel, Albane, et vit dans le 3ème à Paris.

Valentine et François-Xavier et leurs 2 chiens, vivent à Clamart. Valentine travaille actuellement dans un institut de beauté. Ils ont eu la douleur de perdre leur fils Jules à 1 mois (18/06/2009 – 23/07/2009).

Clémence, après avoir été diplômée Bachelor Business and Language à l’Institut of Technology de Dublin, a passé un an Erasmus à Madrid et obtenu un Master en Management international à Paris, travaille dans une société d’événementiel.

Marie cherche toujours un CDI après une licence d’arts plastiques.

Chez Mathieu et Sophie,

29 mai 2008 naissance de Paul

2011 déménagement toujours sur Boulogne.

2014 je rejoins la direction financière de CFAO

Paul est aujourd’hui en CE2 et Lou en 4ième au Parchamp

Chez Brice,

Guillaume est en 1ère au lycée Fresnel à Paris.

Gabriel, né le 21 avril 2005, est en 6ème à Janson de Sailly.

Brice refait sa vie avec Dominique

En 2014 Maman rempile pour un nouveau mandat comme adjointe au maire en charge des services techniques, bâtiments, environnement, développement durable à la mairie de Clamart.

Et en septembre 2017 seront fêtés les 80 ans de Maman. Elle continue à recevoir sa famille à la Cour Normande à Villers sur mer !

 

D’autres nouvelles à suivre sur le site !