actualités de la branche LASSALLE 2018 et 2019

sommaire des articles 2018 et 2019 repris ici :

  • une disparition : Jacques SPALTER
  • une autre disparition : Catherine LAMY-SPALTER
  • des nouvelles d’Irène CHATÉ
  • un grand honneur : Odile WEULERSSE
  • un peu de magie
  • Laure WEULERSSE-GARNIER : ses Porsche
  • Séverine GARNIER : ses activités
  • Véronique LASSALLE-KEEFE : ses fils et ses voyages
  • encore une belle photo de famille
  • appel à souvenirs

 

  • une disparition : Jacques Spalter, mari de Catherine Lamy (fille de Colette Lassalle et de Maurice Lamy), est décédé le 1er avril 2014

J’ai rencontré Jacques SPALTER en 1956 à la Commission Fulbright. Cet organisme distribuait des bourses de voyage aux étudiants étrangers.

Après notre mariage en 1957, nous nous sommes rendus en Californie et plus précisément à Stanford University où Jacques avait son contrat d’assistantship et où il a obtenu un PhD en « electrical engineering ».

Nous sommes restés cinq ans dans le petite ville de Palo Alto, où notre fille Dominique est née. Puis ce fut le retour à Paris où nous sommes restés six ans et avons donné naissance à notre fils Frédéric.

Une offre d’emploi au Cern ayant paru dans le Monde, Jacques y postula immédiatement et reçut une réponse favorable.

C’est ainsi que nous avons décidé de nous installer à Genève.

Jacques a travaillé au Cern de 1968 à 1994; puis ce fut une retraite paisible, faite de marches à pied, jusqu’à son décès le 1er avril 2014.

Catherine

  • une autre disparition : Catherine LAMY-SPALTER 

    Le 28 décembre, l’année 2018 s’est terminée avec la disparition de Catherine SPALTER, née le 22 janvier 1929, fille ainée de Colette (LASSALLE) et de Maurice LAMY, professeur de médecine, pédiatre reconnu, qui a fait l’objet de plusieurs articles dans le Trait d’Union, dont un également paru dans la revue Ridendo, faite par des médecins pour des médecins. Voyez le Trait d’Union n°8 page 12 dans le volet « archives ».

    Quelques photos souvenirs.
    Ici avec ses cousins Marc et Bamy CHAPPEY :


    Quelques années plus tard sur la plage d’Hardelot, sans doute en plein été comme le montre la tenue vestimentaire, où, comme le faisait très justement remarquer son cousin Claude CHAPPEY, «le lecteur appréciera le talent artistique hérité de sa mère et les prescriptions médicales conseillées par son père». Voyez le même Trait d’Union n°8 dans le volet « archives ».

    Puis vient le temps de la rencontre avec Jacques en 1957.
    Voici la photo illustrant son permis de conduire californien en 1961, à 31 ans :

    Frédéric CHAPPEY, son neveu, a retrouvé un poème de Joseph CHAPPEY, oncle de Catherine :

    En faisant des recherches, nous avons retrouvé un texte que Catherine avait rédigé en vue d’une publication dans le Trait d’Union. Nous ne l’avions pas fait à l’époque : il n’est pas trop tard ! On y reconnait son humour et sa formation !

    Et puis nous faisons un saut dans le temps et nous en arrivons à cette triste fin d’année 2018, le décès de Catherine.

    Voici les textes qui ont été lus à l’occasion de la cérémonie d’adieu.

    Texte de son frère Didier : 
    Pour toi Cath.
    La vie nous a séparés.
    La vieillesse nous rattrape mais les souvenirs d’enfance sont toujours présents.
    Souviens toi comme miss Ena nous a dorlotés, élevés, aimés. Et surtout les vacances à Hardelot et à Vignacourt, toi seule fille au milieu d’une horde de cousins turbulents et endiablés.
    Puis ce furent les baignades dans la Vienne lors de nos longs séjours à St Germain.
    Malgré ton caractère bien trempé, j’admirais cette grande sœur plus âgée de trois ans, plus affirmée, plus décidée que moi.
    L’exode au Moulleau, le lycée d’Arcachon où tu te rendais à travers bois guidée par Papa Jo.
    Tout cela est bien loin mais toujours présent dans nos cœurs.
    A toi Cath, de la part de Dodz.

    Texte de son cousin Philippe CHAPPEY,
    Chers amis,
    Au moment où nous disons un dernier Au Revoir à notre chère Catherine, je vous demande la permission d’évoquer encore une fois sa mémoire en traitant de quelques jalons de jeunesse de sa riche vie.
    Les seules fois où nous vécurent sous le même toit furent des périodes de vacances. Ce sont souvent celles-ci qui sont l’occasion de souvenirs marquants. Tout tient au fait que les sœurs Lassalle étaient unies et que Tante Colette, sa mère, était assez généreuse pour recevoir les garçons de sa sœur Germaine et vice-versa.
    Ce sont les vacances d’été, avant la guerre, à Hardelot dans la villa Les Beaux Jours, avec Catherine sur la plage se baignant avec son frère Didier et les fils CHAPPEY. Comment oublier sa miss Ena, écossaise blonde, amie de la Miss des filles LACROIX, anglaise à la peau claire et aux cheveux auburn. Il y avait là une bande d’enfants joyeux.
    Ces vacances se poursuivaient à Vignacourt avec le même déjeuner en commun dans la salle à manger des enfants piaillant ensemble malgré les Miss et Teta. Catherine était une peu seule, seule fille de son âge, mais il y avait les balades à vélo. Elle était la chérie de Granny, notre arrière grand-mère.
    Puis ce furent les vacances à Saint Germain sur Vienne, pendant la guerre. Nos distractions étaient les bains dans la Vienne, les parties de tennis, la préparation des exposés à faire à tour de rôle au moment du déjeuner. Je me souviens que l’année du débarquement je fus chargé de lui donner des répétitions de maths, en échange elle me jouait au piano Nuages et Minor Swing de Django Reinhart.
    Après la guerre il y eut encore pour moi des séjours prolongés dans la maison de Triel pendant les vacances scolaires. J’ai déjà raconté dans le Trait d’Union les agréments de ces séjours.
    Puis Catherine organisa quelques soirées dansantes rue de Varenne où l’on rencontrait des filles et fils de Professeurs de médecine fort sympathiques. Catherine et moi organisâmes une grande soirée dansante boulevard Flandrin.
    C’est alors que Catherine rencontra l’homme de sa vie et qu’après s’être mariés, ils partirent aux Amériques. C’est une autre histoire qui commence sur laquelle je n’ai aucun souvenir.
    Après leur retour en Europe, j’admirais de loin la personne cultivée et respectais infiniment le Professeur qu’elle était devenue.
    Ces dernières années, nous correspondions régulièrement sur deux sujets principaux : l’ordre du jour de l’assemblée générale annuelle du 4 rue Théodore de Banville et la facture d’entretien de la sépulture LASSALLE au Père Lachaise et cela en toute confiance et affection mutuelle perpétuant l’ambiance familiale et unie dans laquelle nous avions vécu notre jeunesse.
    Je sais que sa vie fut riche et dense. Mais je n’en connais que les grandes lignes. D’autres seraient plus compétents pour en parler.
    Mais je suis certain que tous ceux qui l’ont approché en ont le souvenir d’un être intelligent, compréhensif et chaleureux et n’auront pas oublié sa façon de rire, si personnelle, s’ils ont eu l’occasion de l’entendre.
    Et c’est ma conclusion, émue.

    Anthony
    En guise de conclusion une photo, très émouvante, une des dernières de Catherine.
    Elle y est avec Anthony, jeune homme suisse qui effectuait son service national obligatoire, non dans l’armée car il avait eu un problème de genou, mais à sa demande, dans une maison de retraite, celle où se trouvait Catherine.

    « Il n’y a pas de hasard, il n’y a que des rendez-vous » disait Paul ELUARD.  Ce fut une rencontre incroyable, vous lirez la lettre de ce jeune civiliste qui était tellement ému. Deux très belles âmes : jugez vous-mêmes.

    Chère Madame SPALTER,
    Votre départ m’a laissé sans voix. Je n’arrive toujours pas à y croire. Mais je sais que là où vous êtes, vous serez en paix. Je n’ai pas les mots pour décrire notre amitié mais je sais qu’elle était forte et sincère.
    Vous faire sourire était la plus belle chose qui soit et ma plus grande satisfaction.
    Vous étiez ma source de motivation, ma conseillère, et grâce à vous, aujourd’hui je sais ce que je veux dans ma vie.
    Ensemble nous étions deux petits jeunes qui se racontaient tout, comme des meilleurs amis, c’est là que j’ai compris que l’amitié n’avait pas d’âge.
    Vous accompagner a été la plus belle chose qui me soit arrivée et je sais que même si je ne pourrai plus être à vos côtés, les anges sauront prendre bien soin de vous, j’en suis sûr. Des anges comme votre mari.
    Je sais que de là-haut vous continuerez à veiller sur moi mais surtout sur votre merveilleuse famille qui vous aime tant.
    Vous êtes la plus belle rencontre que j’ai faite dans ma vie et vous resterez toujours dans le cœur de chacun d’entre nous. Vous allez nous manquer Catherine. Bon voyage Madame Spalter.
    Anthony.

  • des nouvelles d‘Irène Chaté (fille de Delphine Weulersse),

Des news, un peu succinct mais l’essentiel y est. En GROS tout va bien pour nous 🙂

Nous habitons Paris 5è où nous aimons nous promener le long des quais de Seine,

Arsène 9 ans est passionné de dessin (voir photo jointe) et de saxophone jazz qu’il apprend depuis un an. Antoine 5 ans adore chanter, danser, raconter des blagues et faire du karaté. Je suis responsable budgétaire au sein de la Direction des affaires culturelles de la Mairie de Paris, mais surtout je passe beaucoup de temps avec mes enfants 🙂
Hugues, est chercheur en physique au sein du Commissariat à l’énergie atomique, il voyage beaucoup. Ses contacts avec la Chine nous ont permis de faire un magnifique voyage de 2 semaines à Pékin / Suzhou / Shanghai en octobre dernier (voir photo jointe à Shanghai).

Bises !       Irène

 

  • les vœux de la famille LASSALLE  pour 2018- cliquez ici.

 

  • un grand honneur 

Odile WEULERSSE s’est vu décerner le grade de chevalier dans l’ordre national de la légion d’honneur – à l’instigation de Jean-Michel BLANQUER, Ministre de l’Education nationale et de la Jeunesse – qui lui a remis son insigne le 12 mars 2019.

Lisez ici ici la transcription du discours du Ministre.

Et voici la fin de son allocution : 
suggestions : montez le son de votre haut-parleur, cliquez sur le carré en bas à droite pour visualiser en plein écran, puis cliquez sur la flèche centrale.


pour l’anecdote : le ruban qu’on épingle comporte une redoutable agraphe :

Le Règlement enjoint aux Dames de porter une veste : il n’est pas question de demander à la personne qui épingle de passer délicatement son autre main sous une robe légère.

 

  • un peu de magie

Le 24 mars 2019, une vingtaine d’enfants de 5 à 12 ans, accompagnés d’autant de parents, ont participé à un spectacle de magie dans un théatre spécialisé, le Double Fond à Paris.

La salle était petite, pleine et, avant le début, papotante.
suggestions : montez le son de votre haut-parleur, et cliquez sur le carré en bas à droite pour visualiser en plein écran – puis cliquez sur la flèche au milieu

 

Après une démonstration de plusieurs manipulations, les enfants ont été invités à réaliser eux-mêmes quelques tours.

Ils en sont sortis en connaissant les bonnes manières, entre autres, de manipuler un jeu de cartes – ou de lancer en l’air un foulard sans les mains.

 

note : nous ne voulons pas multiplier ici les vidéos, pour ne pas divulguer les tours, et, accessoirement, parceque les vidéos sont très gourmandes en mémoire !

Chaque enfant est reparti avec un CD expliquant quelques manipulations supplémentaires.

Le spectacle a été suivi d’un gâteau d’anniversaire – étant précisé qu’en fait, pour des raisons pratiques, il y avait plusieurs gâteaux prédécoupés – et que nous en sommes encore à nous demander de qui ou de quoi nous fêtions l’anniversaire ! et si ce n’était qu’un prétexte : le gâteau seul importait.

Voici quelques commentaires de parents après le retour à domicile : 
     – de Géraldine L. : toute la soirée, Louise a fait le tour du foulard à son père (qui n’assitait pas à la séance).
     – de Pierrette C. : en voyant quelques premières photos, je viens de comprendre pourquoi mon adorable petit neveu Octave DIAMANTIS a réussi devant moi un admirable tour de passe-passe en me sortant les 4 as après avoir bien battu son jeu de cartes – quelque temps après ce fameux après-midi au Double Fond.
     – de Marion C. : Lundi sortie de l’école : les garçons sont dans un état d’exaltation inhabituel. Certes, ils sont sujets aux émotions intenses mais là ils atteignent des sommets.
À deux voix, ils réclament des cordelettes, un mouchoir pas trop grand mais très fin… Croyant qu’il s’agit d’un banal phénomène d’excitation quantique,  j’applique le remède ordinaire : une grosse portion de viennoise au chocolat pour chacun. Loin d’endiguer la crise, ce goûter l’aggrave. Ils hurlent de plus belle mais cette fois en postillonnant une révoltante bouillie chocolatée.
Ils détaillent leurs exigences : il leur faut là tout de suite, sur le parvis de la gare de l’est, un ordinateur en état de marche avec lecteur de CD pour visionner des disques qu’ils cachent dans leur cartable pour que le mère ne les voient pas.
Cinq stations de métro plus tard, toute une voiture de la ligne 7 sait que Philippe mange des bonbons même pendant le spectacle de magie et que deux enfants se sont levés, par politesse, pour l’imiter, et que les parents ont fait de grands gestes pour les renvoyer à leur place – ces gens là ne savent pas vivre – mais que Philippe est un gars très bien qui installe les enfants devant et les parents derrière et achète les bonbons en gros. 
Vers l’heure du dîner, j’ai une vision plus claire des événements. Ils ont participé à un spectacle de magie à moins qu’il s’agisse d’un spectacle magique. Leur mère n’ayant pas pu assister à la séance, ils ont le projet de lui en proposer leur version personnelle. Pour ce faire, ils comptent sur le CD offert à l’issue du spectacle qui présente non seulement les tours de magie mais aussi, oh miracle, les explications ! Et sur ma discrétion puisqu’ils vont répéter chez moi pour que la surprise soit complète.
L’heure tardive nous ayant obligés à remettre l’exécution de ce projet, le mercredi suivant est intégralement consacré au visionnage des tours et à l’entraînement des deux magiciens. 
Après leur départ, je n’ai pas pu mettre la main sur les allumettes, les cartes à jouer, mon foulard de soie, un verre à pied et même un rond de bière. J’en ai déduit qu’ils avaient déjà acquis une grande habileté dans l’art de faire disparaître les objets. J’attends maintenant qu’ils perfectionnent la technique capable de faire réapparaître mes affaires !

Et voici quelques dessins originaux : 

 

 

  • Laure WEULERSSE-GARNIER nous envoie ce joli rassemblement, près de chez elle à Arcachon, de quelques Porsche. Mais elle ne nous dit pas ses préférences !
 
  • de Séverine GARNIER  (fille de Laure, sus-nommée) –  Directrice de publication 

En septembre 2001, j’étudie au Centre de formation des journalistes à Paris. J’attrape le virus de l’information en continu…

J’aime l’info et la musique classique (j’ai fait du chant et du piano) mais ces deux-là ne s’aiment pas trop.
Peu de classique dans la presse, peu d’actu sur le web… Le classique a-t-il été endormi par une mauvaise sorcière ? Heureusement des fées de la communication et de vaillants artistes ont envie de secouer la poussière.
« Classique mais pas has been » (cliquez dessus) fondé en 2012 est ma part du combat.
J’écris également sur le classique dans Le Parisien, Sud-Ouest, Classica, et je participe régulièrement à La Tribune des critiques de disques sur France Musique.
Trois œuvres pour mon île intérieure : Le Sacre du Printemps de Stravinsky, Gai Printemps de Mel Bonis et You must believe in Spring de Michel Legrand.

 

  • Véronique LASSALLE-KEEFE 

Depuis Washington, où elle est établie, Véronique nous a envoyé, il y a déjà quelques années, cette belle photo où elle est entourée de ses « petits ».

Elle se remémore aujourd’hui plusieurs souvenirs de son Père :
– le décalage horaire : c’est une chose à laquelle mon père n’avait jamais pu s’habituer : il me téléphonait au mileu de la nuit !  Cela le rendait fou !  Surtout quand j’habitais San Francisco car le décalage était alors de 9 heures…  Et ensuite l’Idaho, où le décalage était de 8 heures !  Pas évident du tout.  Mais un sujet amusant à chaque fois.
– quand je travaillais chez Lassalle (comptabilité et contrôle budgétaire), papa avait mis à ma disposition une 4L bleue que je conduisais dans Paris.  Et bien, j’ai eu un accident (pas grave, des dégâts matériels) : sur l’autoroute A1 : une voiture a raté sa sortie et a fait marche arrière devant moi.  J’ai freiné, mais horreur : pas de freins.  Boum.  Tu peux imaginer le savon que j’ai pris, tout en criant mon innocence… Quelques mois plus tard, après mon mariage, Papa a emprunté la dite 4L un jour et a embouti une voiture de pompiers sur le périph. près de Clichy.  Et bien figure-toi qu’il m’a téléphoné pour s’excuser en me disant : tu avais raison, pas de freins !!!
– je me souviens aussi de sa fascination pour l’Ouest.  Grand fana de westerns, il voulait retrouver les paysages de John Ford.  Nous avons fait plusieurs voyages en Arizona, Utah et au Nouveau Mexique pour visiter les parcs nationaux.  Sa préférence était bien sûr Monument Valley et il y a pris des photos innombrables.  Il était vraiment transporté dans un autre monde et disait qu’il s’attendait à voir les Apaches attaquer à chaque canyon !

Véronique nous envoie quelques belles photos de ses récentes vacances avec son fils Philippe :

 




Philippe présente une spécialité locale : the beaver tails (les queues de castor) – c’est une pâtisserie, genre beignet, fourrée au chocolat et à la banane (mais tu peux faire d’autres choix) – les non-natifs doivent avoir le cœur bien accroché.

pour les philologues : les mots beaver et bièvre (ancienne appellation française du castor, jusqu’au XVIIIème siècle) ont la même racine – une petite rivière, la Bièvre, où batifolaient les castors, coule dans Paris et à son sud-ouest – elle traverse le charmante commune de Bièvres, dans l’Essonne (aujourd’hui 91570) – son parcours urbain, canalisé, et recouvert en 1912, nous a laissé la rue de Bièvre, dans le 5ème arrondissement. 
  
Véronique et Philippe devant une des nombreuses chutes de la région :

 

 
  • encore un peu de magie

Nous apprenons que le Double Fond, qui avait présenté un spectacle pour nos enfants (voir ici nos précédentes actualités) avait mis sur pieds une formation « bac + 2 » de magie.
Il est le premier au monde à délivrer dans ce domaine un diplôme reconnu par l’Etat.
Nous laissons le soin aux personnes intéressés de se renseigner directement. 

 

  • encore une photo de famille

Voici une photo que nous venons de retrouver :

nous croyons reconnaitre, en partant de la gauche, après l’inconnu de dos :
– Charles MAMET, mari de Marguerite ANGLADE, cousine issue de germaine de Blanche LESTIENNE, épouse d’Alfred THUILLIER
– Adolphe LANDRY, mari de Lucie, fille puinée d’Alfred
– Maurice LAMY, mari de Colette LASSALLE, l’une des filles de Berthe, fille ainée d’Alfred
– Hélène LANDRY, fille d’Adolphe, épouse de César CAMPINCHI
– César CAMPINCHI
– Jean LASSALLE, fils de Berthe THUILLIER, épouse de Lucien LASSALLE
– un parent inconnu

– date : nous pencherions pour 1930

– lieu : nous pencherions pour Vignacourt

Nous apprécierions toute information de votre part quant aux personnes représentées (notamment l’inconnu de droite), à la date, au lieu – merci à l’avance.

 

 

  • appel à souvenirs

Pourriez-vous, sur cette photo, identifier les personnages et situer le lieu et l’époque ?
Nous pouvons vous prêter l’exemplaire en notre possession, si vous voulez le voir à la loupe.

Nous devons ajouter que notre tirage est encadré d’une petite bande dorée et qu’il est plaqué sur un carton vert – précisément comme d’autres photos en notre possession, qui représentent Vignacourt ! notre photo-mystère aurait-elle été prise au Bois de la Chaussée ? mais la partie gauche représente un terrain en pente, alors que le Bois était plat ! Nous savons par ailleurs que la maison de ce Bois a brulé : celle représentée était-elle la première ? ce qui expliquerait que les anciens de la famille ne la reconnaissent pas – et la pointe à droite est-elle bien d’un bateau ? car il n’existe pas de lac ou rivière à moins de plusieu