actualités de la branche LASSALLE juin 2020
note liminaire
A la création de votre site, en 2017, cette branche était intégrée à la branche THUILLIER.
Nous la détachons aujourd’hui.
Nous reprenons ci-après la liste des articles déjà parus concernant des membres de cette branche.
Et nous publions ensuite quelques nouvelles actualités
sommaire des articles 2018 et 2019 que vous pourrez voir et revoir en cliquannt ici :
une disparition : Jacques SPALTER
une autre disparition : Catherine LAMY-SPALTER
des nouvelles d’Irène CHATÉ
un grand honneur : Odile WEULERSSE
un peu de magie
Laure WEULERSSE-GARNIER et ses Porsche
Séverine GARNIER : ses activités
Véronique LASSALLE-KEEFE : ses fils et ses voyages
encore une belle photo de famille
appel à souvenirs
sommaire des actualités nouvelles ci-dessous :.
que faire en un confin, à moins que …
Louis est arrivé : Blandine et Raphaël DEMNARD
tradition oblige : Augustin RIBADEAU DUMAS
un peu de permaculture : Caroline CHAPPEY-RIBADEAU DUMAS
un grand professeur – sa vie, son œuvre : Maurice LAMY
une rencontre insolite : Maurice LAMY et LALA
CASTELNAU : le quatrième Maréchal : Benoît CHENU
un bénévolat culturel : Nicole LASSALLE-SABBAGH
que faire en un confin, à moins que …
nous reproduisons ici quelques petites informations, impersonnelles, déjà publiées dans d’autres branches
… l’on ne songe
… l’on ne réquisitionne la famille pour confectionner des blouses de protection
… l’on ne dépouille encore
… l’on ne songe à reprendre des études
… l’on ne perfectionne son écartement
… l’on ne se fasse inviter chez soi (pourquoi pas !) par son fils
Louis est arrivé !
– le 15 mai à Paris
– toutes nos félicitations aux heureux parents, Blandine et Raphaël – et tous nos vœux de bonheur pour ce nouveau parent – pour le situer dans la famille, en remontant : Raphaël DEMNARD – Pascaline LASSALLE-DEMNARD, Jean-Pierre LASSALLE, Jean, Lucien et son épouse Berthe THUILLIER, Alfred THUILLIER
– pour l’anecdote : Louis est arrivé pendant le confinement, avant la levée de la suppression des visites dans les établissements de santé : son père a été confiné … dans la maternité.
tradition oblige
Il y a 70 ans, Marc (fils de Germaine & Joseph Chappey), intégrait l’école polytechnique; cette année, (reprenant le flambeau dont son grand-oncle aurait été très fier, Augustin Ribadeau Dumas (fils d’Eric & Caroline Chappey) y fait ses premiers pas (à 19 ans; à sa première tentative, en 3/2 comme disent les initiés).
Marc avait fait son stage à l’école de l’air, Augustin a débuté le sien en gendarme.
un peu de permaculture
Pour participer au sauvetage de la planète, Caroline CHAPPEY – RIBADEAU DUMAS a transformé son jardin en potager bio.
Félicitons-la.
Elle rejoint ainsi une autre Caroline (FORTUNY) : voyez ici et faites défiler.
Nous serions heureux de connaitre les initiatives similaires de la famille
Maurice LAMY : sa vie, son oeuvre
Le Trait d’Union a déjà publié dans le TU n° 2 (voir le volet « archives » ou cliquez ici) son éloge par le professeur Robert DEBRÉ,
Nous disposons d’un opuscule de format 21 x 27 donnant les titres des travaux scientifiques du docteur Maurice LAMY : 732 livres et publications (nombre impressionnant !) – nous tenons l’opuscule à disposition), avec, en tête, ses nombreux titres et ses nombreuses fonctions, que vous pouvez consulter en cliquant ici.
Maurice LAMY : une rencontre insolite
Maurice LAMY, époux de Colette LASSALLE, s’est engagé dans la 1ère Armée en 1944 . (sources : souvenirs de son fils Didier, et article du Professeur Debré dans le Trait d’Union-papier- n° 2 : voir dans le volet « archives » ou cliquer ici – page 14 de ce numéro, et page 8 de l’article, 11ème ligne).
A Mulhouse, très fortuitement, le 9 mars 1945, il a rencontré sa cousine, issue de germaine par alliance, Lala (Létizia LANDRY) – voir son parcours ici – qui s’était engagée de son coté comme AFAT – en fait, comme conductrice de poids lourds . A Altkhirch, le 13 mars, ils ont déjeuné ensemble. (source : le carnet de poche de Lala),
L’histoire ne dit pas ce qu’ont pensé les officiers du mess en voyant leur colonel inviter une simple auxiliaire (AFAT = Auxiliaire Féminine de l’Armée de Terre) et la voir bavarder à tu et à toi avec un officier supérieur (Maurice LAMY était commandant).
Castelnau : le quatrième maréchal
Sous ce titre Benoît CHENU vient de faire paraitre un livre sur le général Edouard de CURIÈRES de CASTELNAU, son arrière grand père (pour situer BenoÎt : son épouse Laurence LASSALLE est la fille de Jean Pierre – Jean – Lucien et son épouse Berthe THUILLIER – Alfred
voici une brève description du contenu de cet ouvrage
Le général de Castelnau incarna avec Joffre, Pétain et Foch le haut commandement français pendant la Grande Guerre. Bien qu’ayant eu un rôle prépondérant dans la victoire des armées françaises, notamment en 1914, il fut le seul des quatre à ne pas avoir été élevé à la dignité de maréchal de France. Et pourtant, sans la victoire décisive de Castelnau à la bataille de la Trouée de Charmes, le miracle de la Marne n’aurait pas été possible. Verdun n’aurait pas été davantage sauvé sans les décisions que Castelnau prit sur place dès les premières heures de l’attaque allemande. L’armistice du 11 novembre contremanda en Lorraine la grande offensive qui aurait dû conduire le groupe d’armées qu’il commandait en Allemagne. Tout au long du conflit, pour des raisons politiciennes, le gouvernement l’écartera du commandement en chef et le privera après l’Armistice du bâton de maréchal que l’opinion publique réclamait pour lui.
A l’appui d’une impressionnante masse documentaire jusqu’ici peu exploitée, Benoît Chenu éclaire l’action du général de Castelnau dans les grandes opérations du front occidental, ainsi que celle des autres généraux ayant exercé un grand commandement. Ces pages d’histoire militaire contribuent grandement à la connaissance de la guerre de 14-18 et à celle d’une personnalité dont l’influence s’imposa au-delà du monde militaire dans l’entre-deux-guerres.
C’est une mise en lumière de l’action du général de Castelnau, décisive dans la victoire des armées françaises lors de la Grande Guerre, à partir de documents d’archives. Le rôle des autres généraux ayant exercé un grand commandement est également souligné.
et voici une information de Benoît :
Lors de la célébration de la fête nationale, le 14 juillet 1919, c’est par une foule immense qu’un hommage lui est rendu. Quand apparait Castelnau, l’ovation se transforme en clameur et c’est au cri de maréchal, maréchal qu’il va défiler. Aux places d’honneur, les officiels sont très mal à l’aise. Ce bâton de maréchal que réclame l’opinion publique, ils l’ont refusé au général de Castelnau. Cent ans après, on s’interroge encore sur cette injustice, car tout au long de cette guerre, il a fait partie du haut commandement français. Au même titre que les maréchaux Joffre, Foch et Pétain, ses faits d’armes et sa contribution justifient pleinement cette dignité. Comme l’écrivent les historiens et comme le rappelait encore récemment un grand quotidien national français, il aurait dû être le quatrième maréchal. C’est le titre que j’ai donné à ce livre.
Mais, mon propos n’est pas seulement de rendre justice à ce personnage. J’ai voulu revisiter les épisodes marquants de la Grande Guerre en m’appuyant sur le regard de cet homme qui y fut intimement associé. Cet angle de vue est novateur, car Castelnau est un personnage peu mentionné dans l’histoire militaire française. Or, il existe des milliers de documents le concernant, pour la plupart inédits. Que cela soit sur le plan des opérations militaires ou dans le domaine de la stratégie, Castelnau a joué un rôle peu connu en dehors du cercle des spécialistes. Ce livre n’est donc pas une biographie au sens strict du terme.
quelques commentaires : ne voulant pas nous faire soupçonner de flagornerie familiale, nous nous bornons à recopier quelques avis de personnes étrangères à la famille :
– Livre passionnant et admirablement documenté, l’auteur fort sympathique a fait un travail remarquable. Il nous permet enfin de voir le Général de Castelnau avec un regard nouveau.
– Une révélation. La vie du général de Castelnau, à la fois stratège et homme de terrain, proche de ses soldats dont le rôle déterminant dans la victoire Française de 1918 n’a pas été reconnu à sa juste valeur car, chrétien et homme de conviction, il avait le tort de déplaire aux gouvernants de l’époque.
– Avec Mangin et Gallieni, le général de Castelnau est l’un des grands « oubliés » du premier conflit mondial et pourtant, il en est l’un des acteurs les plus compétents. Chaque page de ce très beau livre sait resituer son rôle majeur et donner à sa mémoire l’hommage qu’il mérite, oh combien !
– Livre très bien écrit et passionnant . Cela montre les qualités stratégiques de ce général et l’implication souvent négative des politiques dans le domaine militaire. Je n’avais jamais entendu parler du général de Castelnau.
– Castelnau a bien géré en 1914, contrairement au reste de l’armée française ; il a anticipé des attaques allemandes et l’évolution du conflit, contrairement à ses collègues ; il était pour une offensive au sud du front français fin 1918, contrairement aux neuneux qui ne causaient qu’alliance atlantique et paix ; il a su monter des opérations interarmes et économiser la vie de ses hommes.
– Très bel ouvrage, très documenté, et détaillant avec impartialité les méandres de cette époque terrible. Félicitations à Benoît CHENU,
Le 7 septembre 2017, Benoît a présenté son livre à Paris, devant une assistance nombreuse et captivée (d’autant plus que Benoît est bon orateur).
un bénévolat culturel : Nicole LASSALLE-SABBAGH
propos recueillis auprès de Nicole (pour la situer, en remontant : fille de Jean LASSALLE, lui-même fils de Lucien LASSALLE et de son épouse Berthe THUILLIER, elle-même fille d’Alfred THUILLIER) et sur son site « https://www.academie-clementine.org »
Depuis 2001, Nicole anime l’Académie CLÉMENTINE à Cannes, où elle réside.
Une association dédiée à la culture au sens le plus large du terme, des propositions d’activités multiples et variées : visites de musées, d’expositions, conférences, débats, colloques, tables rondes, concerts de musique classique, mini-festivals de cinéma (Cannes oblige !), etc ..
Pourquoi Clémentine ?
Au 2ème siècle, Clément d’Alexandrie fut le premier à tenter de concilier l’ensemble des philosophies de nos rivages méditerranéens (le Moyen-Orient, Rome et la Grèce).
Aujourd’hui les cultures les plus diverses, venues de la terre entière, sollicitent notre esprit.
Les arts, les religions, les philosophies de toutes origines, nous montrent de plus en plus clairement le lien indissoluble entre l’unité et la complexité de tout ce qui est humain.
Dans cette perspective, l’Académie Clémentine, créée en l’année 2001, organise des colloques, des visites, des concerts, des conférences qui invitent à approfondir la connaissance de tout ce qui constitue notre propre culture, à rencontrer l’autre avec respect et peut être à savoir ainsi mieux vivre ensemble.
Mieux connaître notre propre culture, ouvrir nos esprits à la diversité du monde n’est-ce pas aller vers cette sagesse ?
Ce nom de fruit délicieux évoque un espoir, une démarche de compréhension et d’acceptation de l’autre.
Activités récentes (depuis 2018), pour la seule partie musicale, à titre d’exemples :
– Flutes au Japon – concert au musée de la Castre
– De Mozart au tango – Moment musical à St Georges
– Messiaen – Quatuor pour la fin du temps
– « Le charmes des impossibilités » film de Nicolas Buenaventura Vidal, présenté́ par Monsieur Jerzy Stankiewicz, très grand spécialiste de l’œuvre de Messiaen, venu spécialement de Pologne pour cette soirée
– Concert de clôture du Festival de cinéma italien
– Chœur Régional PACA, Vocal Côte d’Azur, dir. Nicole Blanchi, Soliste ténor : John Elwes
– Le trio Goldberg en concert
– Fête de la musique à Saint Cassien – désormais traditionnel Moment Musical dans la chapelle suivi d’un pique-nique sorti du sac
– Concert Olivier Charlier – Marika Hofmeyr – Beethoven, Brahms, Prokofiev, Hofmeyr et Kreisler au programme de ce magnifique du
– Concert de Noël – Noël Blanc
– Moment Musical à St Georges – Cécile Maudire : harpe – Florent Bontron : flûte – Amy Blake : soprano
– La Dolce Musica – concert de musique italienne donné par Wei Mao et le French Riviera Orchestra
sans oublier les autres manifestations, et notamment les colloques, exposés, conférences, parmi lesquels :
– Le général de CASTELNAU : 1914-1918, la guerre des occasions perdues – conférence donnée le 7 décembre 2018 par Benoît CHENU, son arrière-petit-fils, pour présenter l’ouvrage qu’il a patiemment écrit. (voir plus haut).
de toute manière et surtout : allez sur le site
activité – quelques chiffres :
– 137 adhérents en 2020;
– environ 25 manifestations par an en moyenne – au moins 2 par mois – repos en juillet et août.
avis personnels de Nicole, et conseils pour les parents qui voudraient s’inspirer de son action :
Faut-il être compétent ?
– il n’est pas indispensable de savoir pourquoi Listz a inséré une quadruple croche au début du refrain de la symphonie numéro 28 en sol mineur;
– par contre, il n’est pas inutile de savoir que ce n’est pas lui qui a écrit les Misérables;
– de toute manière, vous pouvez recueillir de très riches informations sur Internet – qui vous rend vite intelligent.
Faut-il disposer de capacités personnelles affirmées ?
– il est préférable de disposer de bonnes capacités d’empathie, il faut aimer les relations personnelles;
– mais avant tout il faut avoir un très bon sens de l’organisation !
Comment débuter ?
– dès que l’idée prend forme, après quelques sondages informels auprès de parents et d’amis, donnez un nom au groupe que vous envisagez, rédigez des statuts (sous la forme d’une association : c’est le plus facile – il existe des modèles sur internet), les soumettre à l’approbation de vos proches, les déposer : c’est maintenant aisé par internet;
– ouvrez un site : là aussi, il existe de nombreux modèles; si vous avez un jeune près de vous, sollicitez-le : ils savent souvent très bien jongler !
– si vous le pouvez, faites-vous aider et assister par le service culturel de la Mairie;
– de toute manière, il est bon de maintenir un excellent contact avec le ou les responsables de la Culture – la Mairie me verse une subvention annuelle de fonctionnement d’un montant moyen de 1.000 €;
– se tenir au courant des manifestations prévues dans votre ville ou votre quartier;
– réunir quelques amis pour assister ensemble à un spectacle ou une conférence;
– agrandir le cercle de ses membres;
– profiter de la venue annoncée d’un conférencier pour lui demander de se produire devant vos membres.
Comment approcher et solliciter un conférencier, un musicien, un acteur ? ou un groupe ?
– vous verrez que c’est relativement aisé : les personnes qui se produisent aiment à se produire !
– notamment les personnes qui viennent de l’étranger, et qui cherchent à se faire connaitre en France, pour s’y installer ou pour justifier leur venue.
Est-ce coûteux ?
– la plupart des personnes qui se produisent le font gracieusement;
– parfois, ils demandent à être défrayés de leur voyage et/ou séjour;
– et, si vous faites suivre la conférence ou le spectacle d’un diner, bien évidemment, il vous faudra demander une participation aux frais.
Faut-il, en préalable, faire déjà partie d’un large groupe d’amis ?
– ce n’est pas indispensable !
– vous pouvez débuter par quelques parents – le cercle s’agrandira vite !
Faut-il se passionner ?
– oui, bien évidemment !
– sans pour autant se faire « absorber » !
Qu’en résulte-t-il pour vous ?
– des remerciements importants et répétés;
– une immense satisfaction pour s’être rendue utile !
Puis-je vous être utile ?
– n’hésitez pas à m’approcher.